Nicolas Miguet a déposé ses derniers formulaires vendredi 16 mars 2012 à 15h00.

Nicolas Miguet, candidat de la société civile à la Présidence de la République, a déposé au Conseil Constitutionnel les dix derniers formulaires de présentation officiels reçus directement au siège de sa campagne.

De mardi 6 mars à ce jour, le « manque » s’est réduit à un bon rythme, qui permet d’espérer l’arrivée « au finish » sur la barre des 500 requis, ce sera fonction des envois directs au Conseil constitutionnel. Il y avait 481 formulaires reçus mercredi 14 mars, sous réserve de validité, d’autres ont été envoyés directement par les maires au Conseil constitutionnel.

Nicolas Miguet a déclaré : « Je tiens à remercier et féliciter pour leur courage les très nombreux maires qui, en me parrainant, ont montré leur attachement à la diversité de l’expression politique -y compris minoritaire- dans notre pays.

Un grand merci également aux militants du RCF qui n’ont pas ménagé leurs efforts durant ces derniers mois et tout particulièrement ces derniers jours.

Si le seuil n’est pas atteint, je serai certes déçu mais pas amer. Je connais les vicissitudes de la vie politique, j’en accepte les dures lois et je conserve donc intacte ma combativité militante.

Naturellement, je m’exprimerai dans cette campagne en prenant parti pour le candidat qui intègrera les axes politiques que j’ai développés dans mon programme « 110 propositions pour la prospérité populaire ». 

Avec opiniâtreté, je ferai notamment valoir le bien fondé de la méthode que j’ai préconisée : non une réforme permanente dans un douloureux et inefficace goutte-à-goutte durant cinq ans, mais le « big bang politique » c'est-à-dire l’engagement sur trois à quatre mois de l’ensemble des grandes réformes de structure permettant de consacrer le reste du quinquennat aux ajustements techniques nécessaires. Ce fut la méthode retenue par Charles de Gaulle durant l’été de 1958. Elle est efficace.

Dès aujourd’hui, le RCF que je préside, se lance dans la préparation des élections législatives. Nous ferons entendre, dans le maximum d’endroits de France, la voix des malheureux contribuables français. J’appelle tous les Français qui en ont assez de la gabegie généralisée, de la course à l’endettement public et du concours Lépine des impôts à me rejoindre. Ensemble, nous ferons prévaloir la voix du bon sens et de la France réelle. »